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Métro-boulot-dodo, un rêve... ou presque
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18 mars 2009

De ma soirée d'hier

        Hier soir, j'ai décidé de profiter de la fin du soleil et de porter mes lunettes de soleil (c'est qu'il faut que je les réhabitue à être portées). Mais le temps de ma petite promenade, le soleil avait commencé à sérieusement décliner et porter des lunettes relevait plus de se faire remarquer que d'ne nécessité. Mes lunettes de soleil étant à ma vue et mes lunettes de vue chez moi, kéké ou pas kéké, j'étais obligée de garder mes lunettes de soleil. Quand je suis rapidement rentrée chez moi pour me changer avant de repartir au cinéma, j'en ai profité pour changer de lunettes (là, les lunettes de soleil relevaient plus du danger). Sur le chemin du ciné, j'ai croisé une fille qui m'a quémandé 50 cents. Après que je lui aies révélé l'état de manque de ma poche, elle m'a demandé "vous (l'éternel problème du "vous" ;-) ) n'aviez pas des lunettes noires tout à l'heure ?_Moi interloquée Euh... oui, tout à fait_Ah j'aimais bien. Je m'étais dit que ça vous allait bien, elle a un beau visage, avec les lunettes ça le fait bien"... Merci, mais non, mes poches ne sont toujours pas remplies ;-)

        Sinon, le film. En fait, au ciné à côté de chez moi, ya une quinzaine espagnole. Ils projettent les films en VOST. C'était l'élément principal qui a motivé ma décision (même le fait de vouloir changer d'air, d'oublier que je n'ai aps de télé n'était pas assez fort à côté) : RENOUER ENFIN AVEC L'ESPAGNOL. Ben chui pas déçue.
        Les Espagnols ont un sens cinématographique assez... spécial. J'avoue, faut aimer, mais une fois que tu rentres dans le délire du gars, ben ça marche, et même bien. Le film s'appelle "Mes chers voisins" (titre original : "La comunidad", que je préfère largement, car l'expression revient régulièrement dans le film. D'ailleurs, qu'est-ce qu'ils ont ces français à changer totalement les titres des films étrangers quand ils les traduisent ? Parfois, ils changent le titre, mais en prennent un autre en anglais aussi. Quel intérêt ?!). En gros, c'est une femme qui trouve 300 millions de pesetas (je sais pas combien ça fait en euros, mais avec un calcul simple on peut y arriver. Essayons encsemble ''300 000 000 x 4' / 10' / 6,55957  (quoi ? Vous ne trouvez pas ça simple ?) = 18 293 882 €... ouais, ya moyen d'en faire quelque chose) et qui va devoir affronter la véhémance de ses "chers nouveaux voisins". Ca commence tout doucement, on rit du personnage féminin et au fil du film, on rit plus des idées saugrenues du script. Un petit bijou selon moi, mais pas du grand cinéma non plus, car sur la fin, on y croit plus, c'est trop gros.
        NOTA : je ne verrais plus St*r W*rs de la même manière maintenant.

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Commentaires
R
rainette> Woalà, t'as tout compris... enfin, presque. Le film, c'était pas de la SF (j'aime pas non plus), c'était un film qui pourrait être réel si le réalisateur et le script n'était pas partis dans des délires insoupçonnés. Genre, la bonne femme suspendue au dessus du vide, qui s'accroche d'un bras et tient une valise de plus de 10kg dans l'autre et qui revient sur la terre ferme on ne sait trop comment. C'est pas de la SF, c'est juste irréaliste.<br /> <br /> Bridget> J'étais comme ça, mais j'accepte mal le regard répréhensif des gens quand je leur parle, que je fais me courses en lunettes de soleil, parce que la flemme de changer de lunettes 3 fois en 1h. Du coup, maintenant, je me brûle la rétine.
B
je ne peux pas vivre sans lunettes de soleil. bon sauf la nuit.
R
Donc en résumé, pas de lunettes noires au ciné, mais un film sympa !<br /> Celà dit, j'aime pô du tout les films de science fiction "spaciale" mais l'extraordinaire ça me branche bien, même ET !!!
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