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Métro-boulot-dodo, un rêve... ou presque
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3 juin 2008

Mi Jornada... Tarde

        Chui fatiguée, mais j'ai dans l'idée que je n'arriverais pas à faire court... vous êtes prévenus.

 

        Hier soir, enfin, ce matin (vers 1h), après avoir parlé avec LaReine, nous être adonnées à un concours de clins d'œil sur MSN, totalement inutile, mais divertissant, et après avoir fait le tour des sites internet (Coloc semble de nouveau parti), j'ai décidé de finir ce fichu 9ème chapitre. Explications : pour le cours d'espagnol, on doit lire un livre (policier, Des serpents au paradis de Alicia Giménez Bartlett, pour ceux que ça intéressent) comptant 10 (gros) chapitres. J'avais commencé le 9ème quand tout le monde est venu me voir sur MSN, mais je voulais venir à bout du livre car j'avais un autre cours d'espagnol oral ce soir et j'en avais marre que "tout le monde" autour de moi sache qui est le meurtrieur et pas moi. Mais ô malheur, le chapitre 9 se finit ainsi (c'est pas vraiment les dernières lignes, mais celles-ci n'ont aucun intérêt ici) :
    - J'ai quelque chose pour vous, j'aimerais vous parler. Pourquoi ne m'inviteriez-vous pas à dîner chez vous ? (non, il se gêne pas)
    - Je vous attends. Je peux savoir un peu de ce que vous avez ?
    - J'arriverais dès que le trafic me le permettra. Je vous le dirai alors.

        Bon, si on a bien suivi ce qui précédait, on pouvait savoir qui est le meurtrieur, mais quand même, j'avais toujours pas le mobile (c'est comme ça ?) et ça m'intriguait depuis quelques chapitres, je vois qui ça peut être, maisje ne vois pas pourquoi. Bref, j'ai donc entâmé le 10ème chapitre. A l'arrestation du meurtrieur j'ai regardé l'heure 4h56. Bien qu'il ne me restait que 5 pages (qui me restent toujours d'ailleurs), j'ai décidé de me coucher, l'esprit enfin apaisé.

 

        Ce matin (plus tard donc), réveil à 11h !!! Cours d'espagnol à 12h. Mais pas de motivation, donc recul du réveil, suivi de quelques parties de solitaires (qu'est-ce qu'on fait pas pour pas se lever !!!), d'une douche du coup rapide, tout comme le p'tit déj. On passe sur le retard en grande partie dû aux bici près de chez moi, et donc cours. A la sortie, blabla, S., un italien me dit qu'il y a des projections gratuites de films d'Emir KUSTURICA ce soir à 21h. Je pense y aller tout en me rendant compte que je n'avais pas de temps pour la sieste auj', alors que la nuit fut courte.
        Retour en bici avec S. Réchauffage de restes de la veille (je suis une grande cuisinière) et... sonnage du portable, l'heure de se préparer pour aller retrouver V. pour une visite de musées. Je mange donc (j'avais vu large, trop large), me prépare,perds du temps et pars finalement à l'heure du rendez-vous, yipi !!! Mais les bici ne fonctionnent toujours pas, ça n'arrange pas mon retard. J'arrive finalement avec 20mins de retard.
        Bon alors les musées étaient..comment dire..? D'un intérêt qui nous a totalement dépassées (peut-être les rares photos demain). Tant et si bien qu'on s'est fait 2 musées en moins de 2h. Finalement, on est retournées en ville pour prendre une glace (j'avais oublié que les glaces donne autant soif). Puis, filage au cours d'espagnol oral. Un peu en retard car allée acheter un truc à boire (manger une glace over sucrée, sous un soleil de 30°, puis pédaler sous ce même soleil...). Et là, surprise, je retrouve D., la Guyanaise. A la fin du cours on parle un peu, on finit par atterrir dans un bar à mini-sandwiches, on discute un peu beaucoup puis retour... mais plus de bici. plus de bici dans toutes les stations que l'on croise sur notre chemin. J'ai fini par en louer une peu avant d'arriver chez moi (alors que j'avais déjà laissé D.) histoire de rentrer plus vite, il était tout de même déjà 22h et temps de me reposer pour de bon... Vu l'heure qu'il est, je suppose que ce n'est toujours pas aujourd'hui que je me coucherai à une heure décente.

 

        Ah, et tiens, la pas LouzE du jour. En rentrant du cours d'espagnol, je suis allée faire les courses... enfin, prendre ce que j'avais oublié hier à savoir "un paquet de pâtes, une brique de crème liquide et une buchette de fromage de chèvre (car j'ai filé celle que j'avais achetée hier à O., qui n'avait toujours pas réussi à le trouver parmi les rayons)". Je me rends compte que j'ai laissé ma carte dans mon autre sac.J'avais 3€01 sur moi... une des premières fois que je prendrai seulement ce dont j'ai vraiment besoin. Je regarde donc les pris et calcule que je devrais avoir dans les 10cents de monnaie, pas grand chose, mais au moins j'aurai tout. Mais c'était sans compter sur la caissière qui m'annonce 3€02 !!! J'ai beaucoup chercher je trouve pas de pièce perdue. Je fulmine intérieurement sur l'obligation de sacrifice et de retour demain et finis par expliquer mon problème à la caissière "combien il te manque ?_1cent_Vale_merciiiiiiiii". Ouf, mission accomplie !!!

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Commentaires
R
Non, c'est sûr que c'est pas grand chose, mais yen a qui l'aurait pas fait, et pis ya aussi le geste qui compte, comme on dit.
I
l'aumone pour 1 cent... ça va!
Métro-boulot-dodo, un rêve... ou presque
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