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Métro-boulot-dodo, un rêve... ou presque
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26 juillet 2010

Des luges

        Je ne vous ai pas raconté mon aventure de vendredi (je fais ça pour décolérer avant de vous raconter celle d'aujourd'hui, car je risque de dire certaines choses qu'il ne faut pas). Vendredi, donc. Parmi les Vendredi, donc. Parmi les nombreux dossiers que je doit remplir, il y en a un pour un organisme que je nommerai Mmm..rde (Oui, c'est compliqué, mais c'est très compliqué, mais c'est très représentatif à côté). Étant donné que je ne comprends pas certains points du dossier, je décide de l'appeler jeudi. Il est 16h passées de jeudi. Il est 16h passées de 11 minutes et je tombe sur le répondeur (plein), je me dis donc qu'ils ont les mêmes horaires que la CAF (je les retiens eux aussi d'ailleurs), je remets donc cela au lendemain. Mais le lendemain, c'est rebelotte, répondeur, qui est toujours aussi plein. Je jure donc, car je vais être obligée d'y alors que c'est loin du centre-ville (à pieds du centre-ville (à pieds boiteux). Heureusement, c'est plus ou moins sur le trajet de la nav*tte qui m'emmène et me ramène du boulot.

 

        Comme il faut toujours mettre un peu de piment, le temps est très instable et des petites gouttes tombent tranquillement de temps à autre. Peu avant de descendre, je dis à la chauffeuse que je vais descendre en même temps que T. pour aller à Mmm..rde. Là, envie de aller à Mmm..rde. Là, envie de meurtre : elle me dit qu'elle aurait fait le petit détour qui m'aurait un peu plus rapprochée si elle avait su. Pourquoi envie de meurtre ? Parce qu'elle tire tellement la gu*ule tous les jours qu'il ne me serait jamais venu à l'idée de lui demander ce petit service de rien du tout (c'est vrai, ça ne modifie que peu le trajet, mais souvenez-vous de l'embrouille pour la convaincre de faire le détour pour venir me chercher et me ramener). Mais aussi, parce que la semaine précédente ou au début de la semaine (le moment exact m'échappe un peu), je lui avais demandé confirmation que Mmm..rde se trouvait bien de l'autre côte de trouvait bien de l'autre côte de a chiée d'immeuble qui était à côté de nous. Elle avait acquiescé et j'avais alors un peu maugréé dans sa barbe sur l'éloignement de l'organisme.

 

        Mais bref, je descends et arrive enfin à Mmm..rde. Là, la dame qui me reçoit me fait comprendre que ça n'a pas intérêt à durer, d'ailleurs elle tente d'expédier la chose. Ben oui, il est 15h45 et les réceptions s'arrêtent à 16h. Mais la RosY, on ne l'a pas comme ça. Je suis dans comme ça. Je suis dans mon bon droit. D'ailleurs, si ça s'éternise après 16h, je suis dans mon après 16h, je suis dans mon bon droit, vous me devez un service et je et je suis arrivée à l'heure. Je suis arrivée à l'heure. Je lui ai donc posé toutes les questions que je voulais, en revenant même sur certains points parfois, avant de me faire éjecter bien avant que faire éjecter bien avant que le premier coup de 16h ait sonné.

 

        Quand je suis sortie, le petit crachin s'était transformé en pluie et le matin même, j'avais délibérément laissé mon parapluie à sa place Arrivée à l'arrêt de bus, je n'étais pas trop trempée, mais le temps que le bus arrive (j'avais manqué le précédent de 45 secondes), la pluie s'était transformée en pluie battante. Pendant le trajet, elle n'a cessé de s'intensifier, jusqu'à atteindre le stade de déluge juste pour ma descente du bus. Réfugiée sous le portique d'une église, j'ai attendu que ça se calme un peu. Ben oui, parce que pour compléter le tableau, le tram que j'aurais pu essayer de prendre ne passe pas près de chez moi pendant les vacances, alors je dois finir à pied, autant ne pas trop traîner debout pour rien.

 

Vous vous doutez bien que c'est trempée que je suis arrivée chez moi… à cause d'un répondeur trop plein jamais vidé (et de fonctionnaires trop feignants pour décrocher quand le téléphone sonne).

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Commentaires
R
Non, je suis naturellement frisée, et à la réflexion, je préfère ça qu'être comme Mère qui ressemble à un chien mouillé sous la pluie. Moi, si je veux m'en sortir, je dois juste les surveiller quand ils sèchent histoire qu'ils ne gonflent pas trop.<br /> D'ailleurs, vendredi tout ce qui c'était passé avant et autour m'avait tellement mis les nerfs que ça ne m'a pas énervée. En fait, j'aime marcher sous la pluie, sans capuche... quand je dois rentrer chez moi, et pas tous les jours non plus.
R
Ben voilà, tu sais maintenant à quoi ça sert vraiment une église !!!!<br /> Et puis moi... je sais pourquoi tu râles quand tu es mouillée !!!! Parce que tu frises et qu'il n'y a rien de plus énervant que de se retrouver avec des bouclettes ! (hihi, je le dis parce que j'en sais quelque chose !!!)
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