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Métro-boulot-dodo, un rêve... ou presque
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4 mai 2010

De Saint-Exupéry

        N'ayant pas grand chose à faire de mes soirées et encore moins de mes journées, quand je suis seule affalée dans le canapé devant la télé, j'essaye d'habituer F. (souvenez-vous, LittleKitten (je sais que kitten, veut déjà dire chaton, mais elle est vraiment petite)) à notre présence (le jackpot étant qu'elle comprenne enfin que sa mère n'est plus là et qu'elle arrête ses longues heures de lamentations (mais bon, Mère a dit que c'était la plus attachée à sa mère)).
        Pendant le week-end. Elle a appris à ne plus fuir quand on arrive... enfin, plus à chaque fois.
        Dimanche soir. J'ai réussi à l'attraper, mais mes caresses ne lui plaisent pas, elle s'enfuit.
        Lundi dans la journée. Elle fuit toujours autant quand elle voit ma paluche approcher.
        Lundi soir. Je réussi à l'attraper une première fois, mais elle a vite fait de s'échapper. Plus tard, j'arrive à la faire ronronner, je découvre les caresses qu'elle aime et elle en redemande. Elle passe même un moment sur mon torse à écouter mon cœur battre, mais elle finit par fuir, saletés de moustiques qui me font bouger !
        Mardi. Je la rattrape, à nouveau des papouilles bien plaisantes, et une petite sieste sur mon ventre.
        Le problème ? Couchée, ça va, elle se laisse approcher (par ma main), mais une fois que je suis debout, elle fuit. Elle n'a pas compris que cette main qui la papouille si bien est rattachée à ce mètre 80 de muscles (oui, que du muscle).


Apprivoiser un chat peureux demande vraiment beaucoup de patience.

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