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Métro-boulot-dodo, un rêve... ou presque
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13 mars 2008

Ya plus de pain

Je ne sais pas combien de temps Dean va me laisser pour vous écrire, alors je vais tenter de faire vite. On passe sur le cours de 9h, rien de spé, sur le cours d’espagnol aussi, toujours autant de fous rires, j’ai juste appris à connaître un peu plus AC et je ne m’étais pas trompée, elle est vraiment sympathique. Après retour à la maison et départ pour le dernier cours de la journée.

Je décide de partir en avance pour consulter mes mails et tout, Internet ne fonctionnait plus depuis hier après-midi/soir. Mais bon, j’ai eu quelques problèmes, comme j’ai pas encore de carte d’étudiant, je voulais en emprunter une à la bibliothèque, mais elle e dit qu’ils en ont qu’une et qu’elle est déjà prêtée, mais me propose de redémarrer sous linux, pas besoin de la carte comme ça. OK. Bon, j’espère qu’avec toutes mes c*nneries, j’ai pas trop détraquer leur ordi… je l’ai rebooté sans avoir vu le fond d’écran et je suis allée sur ordi qui n’a pas besoin de cartes et qui venait de se libérer.

Ensuite, je me précipite car, oui, messieurs, dames, j’allais enfin être en avance au fameux cours !!! Quand j’arrive devant la porte, personne. Bizarre, peut-être sont-ils tous à l’intérieur… Peu de chances, la porte est fermée (je répète : où est la caméra ?). Au rez-de-chaussée, je vois enfin, l’attroupement qui s’est formé (j’avais trouvé bizarre qu’il y ait autant d’élèves en même temps à l’école et surtout à cette heure-ci), je m’y intéresse, mais j’ai pas mes lunettes et je suis au premier. Je descends donc, rentre mes lunettes de soleil (je les avaient relevées car les gens me regardent bizarrement, quand je les garde à l’intérieur d’un bâtiment, par pur  fainéantise de changer de lunettes et par envie de voir où je marche), sors celles de vue et remonte la queue. Ils attendent devant la salle où il y avait eu la « jornada de la mujer trabajadora » : « La Gran Gala 2008 Ingenieros ». Je me renseigne. C’est un gala fait par les élèves sur la vie à l’ESI, et il n’y a effectivement pas cours quand ça se passe (mais pourquoi on ne me dit jamais rien ?). Quitte à avoir utilisé un ticket de bus pour venir, autant rester et voir. Ça commence à 18h, et dure 3h… soit, ya pas de films intéressants ce soir (alors qu’hier j’hésitais entre 3 chaînes), ça remplacera. Bon, j’ai déjà vu la salle et à voir la queue, je serai dans les escaliers avec un peu de chance… j’avais bien vu L

Verdict : quelques grands moments de solitude parce que pas tout compris (toujours pas de micro), des rires, des grands rires, des sourires, une petite appréhension (ils ont beaucoup parlé du fait de ne pas réussir ses examens. Les profs et l’école vus par les élèves, c’est intéressants (enfin, quand on comprend).

À la sortie, je vais prendre le bus… 13 minutes d’attente. Youpi !!! Le plus marrant, c’est quand le fameux bus est arrivé, avec le numéro et tout, presque vide et qu’il a presque accéléré devant l’arrêt. Heureusement que le suivant n’était que 3 minutes après et que lui s’est arrêté. Pas pu faire mes courses, ce soir c’est la ligne : galettes de riz.

 Bon elle est où cette fichue caméra ? Faut quand même que je sache dans quelle direction sourire dans mes moments de solitudes. D’ailleurs, demain, risque d’être un morceau intéressant : huelga. Voilà bien un mot que j’aurai bien aimé ne pas expérimenter : grève des bus, service minimum.

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Commentaires
R
Je t'ai déjà dit de venir, c'est le bon plan ;-)
S
Ah parce qu'entre deux jours de glande, les espagnols trouvent le temps de faire la grève ? Intéressant... :-)
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