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Métro-boulot-dodo, un rêve... ou presque
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1 juillet 2010

D'en revenir encore et toujours à LA LouzE

        Louze, es-tu là ? Oh oui !!!
        Hier, entre mon retour du boulot et mon rendez-vous chez KinéTact, je n'avais qu'une malheureuse heure et 15 misérables minutes pour jouir de ce premier jour de soldes. Il fallait donc allez droit au but... Sauf que je me suis rappelé au dernier moment que j'avais totalement oublié de faire les repérages dans les magasins du centre commercial. C'est donc ces boutiques-là que j'avais décidé de cibler.
        Selon mes souvenirs, il n'y en avait que 2 qui m'intéressaient, c'était donc jouable. Sauf qu'à peine rentrée dans le centre commercial, je me suis laissée entrainer dans une boutique de bijoux fantaisie, de maquillages et d'autres superficialités. J'y ai laissé un peu plus d'une dizaine d'euros, et c'est ainsi allégée que je suis rentrée dans le premier magasin (qui était juste en face).
        Surtout, ne pas perdre de temps, aller au but. Oui, sauf dans la cabine, j'hésite. C'est un tout petit peu petit, ce n'est pas serré, mais je suis un peu à l'étroit... mais j'ai fermement l'intention de perdre quelques kilos, alors vous voyez, ça serait un moyen de me motiver à y arriver... Vous vous en doutez, je l'ai pris, j'y ai ajouté un nouveau collier, astucieusement placé à côté des caisses. Allez, vite vite, direction le deuxième magasin (qui est en fait le troisième dans lequel je rentre et sachant qu'entre-temps je me suis rappelé d'un magasin à la sortie, dans lequel je devais justement retourner).
        Là, chaleur étouffante. La clim est en panne. Plus on rentre profondément, et plus la chaleur est étouffante. Celle qui y restent plus de 3 heures s'exposent à un fort risque de cuisson. En plus de cela, les aiguilles tournent, le temps passe et je suis en retard, je fais donc un trait sur les cabines d'essayage (10 personnes attendent... OK, 6, mais c'est déjà trop) puisque que ce que je veux essayer se porte sur un vêtement. Bon, le gilet sans manche ne va pas, mais le gilet, pas le courage de l'essayer (je porte une chemise large), au pire, je l'échangerai. Passage à la caisse et place au dernier magasin.
        J'y étais allée 2 semaines avant, et depuis, j'ai l'impression qu'ils ont ajouté des trucs, parce que les deux hauts que j'ai finalement achetés, je ne me souviens pas les avoir jamais vus. Par contre, je remercie grandement les vendeuses de ce magasin (Xanaka, pour ne pas le nommer (oui, c'est rare que je mette une marque, mais là, elles le méritent)). Celle qui s'occupait des cabines m'a faite passer avant les 2 dames qui étaient devant moi et j'ai eu droit à la cabine 'personnes à mobilité réduite' (ce qui n'est pas du luxe). En en sortant, elle a demandé à sa collègue à la caisse si elle pouvait me faire passer devant, collègue qui a sympathiquement accepté (Je le précise parce que c'est la première fois que ça arrive. Il y a bien une fois où j'ai pris la caisse prioritaire en espérant pouvoir passer (ils n'en ont pas l'obligation, je n'ai pas la carte) et la jeune femme m'a naturellement laissée passer devant elle (par contre, dans un autre magasin, ça a été peanuts, au niveau des clients et du caissier, ce que je ne trouve pas spécialement normal, mais comme je l'ai dit, je ne peux pas demander moi-même, je n'ai pas la carte), et la fois à la FNAC, où la caisse 'personnes à mobilité réduite' était fermée (alors que j'étais en fauteuil, donc hors de question que j'en prenne une autre) et où le caissier d'à côté était prêt à faire attendre ses clients, pour ouvrir 'ma' caisse (mais bon, c'était après que j'ai passé prêt d'une minute à l'appeler sans aucune réponse et que j'ai passé 2 bonnes minutes à attendre devant, sans que personne ne semble me remarquer)). C'était donc double bénéfice, puisque, dans les cabines, mon portable m'avait dit que j'étais à 15 minutes de mon rendez-vous avec KinéTact et que j'avais estimé le retour à 15 minutes, 20 si je rentrais chez moi me changer (ce qui était préférable).
        Sur le chemin, pour la première fois, j'ai croisé ma collègue stagiaire avec son copain, or, je n'ai pas pu en profiter puisque j'étais tellement en retard que si j'avais pu, j'aurais été en train de courir. Ça a donc été un bonjour très très rapide en espérant que l'occasion se représente un jour.
        En arrivant chez KinéTact avec plus de 5 royales minutes de retard, il m'annonce que... je n'ai pas de rendez-vous pour ce jour. Dé-goû-tée. Je suis épuisée, je dois donc rentrer chez moi. Il est donc trop tard pour aller au cinéma et profiter de sa Fête qui a commencé samedi sans que je ne m'en rende compte. Nouveau programme : repos, retour dans les deux magasins où j'ai fait des repérages (ça doit donc être rapide) et enfin, cinéma pour la séance de 19h30. Sauf qu'au moment de repartir, je remarque que mon portable s'est éteint et je refuse de sortir sans portable (si quelque chose m'arrive). Je repousse donc le départ d'un bon quart d'heure.
        Dans le premier magasin, je ne retrouve pas tout ce que j'avais repéré et je fais de nouveaux essayages en express puisqu'il va fermer, que le temps passe et que j'ai encore l'autre magasin à faire. Finalement, je n'achète rien et file dans le deuxième et dernier magasin où je n'arrive pas à obtenir LE renseignement que je veux, je ne reste donc pas.
        Finalement, la fête du cinéma en même temps que les soldes, ça a du bon : il n'y a personne, ou presque, aux caisses ; j'arrive donc dans la salle pendant les bandes annonces (Film vu : Kiss & Kill). En en sortant, il est tellement tôt que j'opte pour un deuxième film. Là, coup de bol. La caissière dit à la dame et son fils qui sont juste devant moi que non, elle ne peut pas leur donner deux places pour le quatrième et dernier volet de l'ogre vert en 3D puisqu'il n'en reste plus qu'une. Ah ba non, il n'en reste plus, je prends la dernière :-) !!! En revanche, j'arrive dans la salle quelques secondes peut-être après le début du film. Zut.
        Pour compléter le tout, aujourd'hui, on m'a donné ma fiche de paie et mon chèque... enfin, ils auraient aussi bien pu me donner ma paie en pièces de 1 cent, ça n'aurait pas été beaucoup plus lourd. En effet, comme après l'accident ils m'ont versé un salaire alors que j'étais à l'hôpital, alors ils l'ont récupéré. Ce qui reste, ce n'est même pas un budget soldes, c'est... c'est... peanuts (oui, c'est mon expression du moment). Pour indication, ça correspond à 21,87% de ce que j'aurais dû toucher ce mois-ci (en tant que stagiaire), sachant que je n'ai pas bossé tout le mois. Et moi qui comptais sur cette première nouvelle paie pour faire à nouveau sourire mon compte... on dirait qu'il va falloir que j'attende que mon assurance se réveille et ça ne me fait pas beaucoup plus plaisir. Et puis je voulais une nouvelle montre, de nouvelles lunettes de vue et d'autres de soleil... Un choix va s'imposer à moi (à moins que je ne fasse un emprunt auprès de la banque 'PèreEtMèreToujoursLàPourAider')...


Sinon, vous connaissez mon programme pour les deux soirées à venir.

       
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